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  Vol. 294 No. 1, Juillet 2005 TABLE OF CONTENTS
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Traitement médicamenteux de la néphropathie lupique

Derek M. Fine, MD

Affiliation de l'auteur: Division of Nephrology, Department of Medicine, Johns Hopkins University School of Medicine, Baltimore, Md.

Correspondance: Derek M. Fine, MD, Division of Nephrology, Department of Medicine, Johns Hopkins University School of Medicine, 1830 E Monument St, Suite 416, Baltimore, MD 21205 (dfine1{at}jhmi.edu).Rédacteurs en chef des Tables rondes du Johns Hopkins Bayview Medical Center: John H. Stone, MD, MPH, Charles Weiner, MD, Stephen D. Sisson, MD, The Johns Hopkins Hospital, Baltimore, Md; David S. Cooper, MD, Contributing Editor, JAMA.


RÉSUMÉ

Les lésions rénales sont fréquentes dans le lupus érythémateux disséminé (ou lupus érythémateux systémique) puisque jusqu'à 60 % des adultes en seront atteints au cours de la maladie. Les traitements habituels de la forme la plus grave de néphropathie lupique, la glomérulonéphrite proliférative diffuse (classe IV de l'Organisation mondiale de la Santé), sont le cyclophosphamide et les glucocorticoïdes. Chez les femmes en âge de procréer, le cyclophosphamide permet de mieux maîtriser la maladie par rapport aux corticoïdes seuls, mais avec des risques d'aménorrhée prolongée, de stérilité, d'augmentation de la sensibilité aux infections, d'inhibition médullaire, de cystite hémorragique et de tumeur maligne. Ces effets indésirables du cyclophosphamide rendent souhaitables d'autres options pour traiter la néphropathie lupique. Nous présentons ici le cas d'une femme de 31 ans ayant développé en post-partum une néphropathie lupique de classe IV et qui, souhaitant préserver sa fertilité et éviter les autres effets toxiques connus du cyclophosphamide, a choisi de suivre un traitement de mycophénolate mofétil. Ce médicament apparaît désormais comme une solution de remplacement du cyclophosphamide et comme un progrès majeur pour traiter les néphropathies lupiques graves.

JAMA. 2005;293:3053-3060.








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