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  Vol. 295 No. 4, Avril 2006 TABLE OF CONTENTS
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PAGES DU PRATICIEN
Intégrer les soins palliatifs chez les candidats à une transplantation hépatique

"Trop malade pour vivre mais pas assez pour être greffé"

Anne M. Larson, MD; J. Randall Curtis, MD, MPH


RÉSUMÉ

Les maladies chroniques du foie entraînent plus d'1 million de consultations médicales et plus de 300 000 hospitalisations par an aux États-Unis. Chaque année, plus de 27 000 patients évoluent vers une hépatopathie au stade terminal (HST), une insuffisance hépatique ou le décès. Les patients atteints d'HST sont sujets à des complications telles qu'une encéphalopathie, une malnutrition, une atrophie musculaire, une ascite, une hémorragie par rupture de varices oesophagiennes ou gastriques, une péritonite bactérienne spontanée, une fatigue ou une dépression. Malgré des améliorations notables dans la prise en charge de leurs symptômes, les patients voient leur qualité de vie diminuer et leur maladie évoluera souvent de manière inexorable. La transplantation hépatique est une option thérapeutique légitime: elle permet d'augmenter la durée de la vie et de réduire de nombreux symptômes. En raison de la pénurie actuelle d'organes, jusqu'à 10 à 15 % de ces patients mourront avant d'avoir été transplantés. Il y a également un grand nombre de patients qui ne peuvent bénéficier d'une greffe du fait d'une comorbidité. Par ailleurs, certains patients transplantés succombent à des complications de la greffe en elle-même. Les patients et leurs proches doivent faire face à cette énigme que représente une maladie potentiellement traitable et pourtant souvent mortelle. À travers le cas d'une femme de 55 ans ayant une histoire de toute une vie d'infection par le virus de l'hépatite B et attendant une greffe de foie, nous allons parler du processus de sélection pour la transplantation et de la difficulté de maintenir un espoir de guérison face à une maladie menaçant le pronostic vital. Dans de telles situations, l'équipe soignante doit combiner soins palliatifs et traitements d'entretien de la vie pour obtenir chez le patient une qualité et une durée de vie maximales.

JAMA. 2006;295:2168-2176.


Affiliations des auteurs: Department of Medicine, School of Medicine, University of Washington, Seattle.


ARTICLE EN RAPPORT

Transplantation hépatique
Janet M. Torpy, Cassio Lynm, et Richard M. Glass
JAMA. 2006;295:165.
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