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  Vol. 299 No. 4, 30 janvier 2008 TABLE OF CONTENTS
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Hyperéosinophilie chez un patient originaire d'Amérique du Sud

Kathleen R. Page, MD; Jonathan Zenilman, MD


RÉSUMÉ

L'hyperéosinophilie asymptomatique est fréquemment observée chez les voyageurs de retour et chez les immigrants originaires de zones d'endémie parasitaire. Nous présentons le cas d'un homme de 49 ans, originaire de Guyane, qui a immigré aux États-Unis 4 ans avant ses examens. Il présentait une hyperéosinophilie asymptomatique persistante, et ses multiples examens parasitologiques des selles étaient négatifs. Bien que la liste des maladies parasitaires associées à l'hyperéosinophilie soit longue, le diagnostic différentiel de l'hyperéosinophilie asymptomatique avec examens des selles négatifs est plutôt limité. Nous évoquons ici les éléments de l'interrogatoire clinique et de l'examen physique essentiels à l'évaluation de l'hyperéosinophilie chez les patients à risque de maladies parasitaires, et présentons un algorithme simple pour guider l'exploration diagnostique. Malgré la nécessité de répéter l'examen parasitologique des selles, ce test n'est pas sensible en pratique. L'examen sérologique est souvent nécessaire pour rechercher les parasitoses chroniques. La plupart des cas sans diagnostic définitif peuvent être traités conservativement par une surveillance régulière, ou empiriquement par des antihelminthiques ; cependant, les patients ayant un nombre d'éosinophiles de plus de 3 000/µL ou de plus de 1 500/µL pendant plus de 6 mois présentent un risque d'atteinte des organes cibles et doivent être orientés vers un service spécialisé dans les maladies parasitaires et/ou en hématologie.

JAMA. 2008;299(4):437-444


Affiliations des auteurs : Johns Hopkins University School of Medicine, Baltimore, Maryland.


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JAMA. 2008;299:385.
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