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  Vol. 293 No. 4, Avril 2005 TABLE OF CONTENTS
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RAPPORTS SUR LES ERREURS ET SYSTÈMES D'INFORMATION

POINT DE VUE DES DIRIGEANTS HOSPITALIERS

Joel S. Weissman, PhD; Catherine L. Annas, JD; Arnold M. Epstein, MD, MA; Eric C. Schneider, MD, MSc; Brian Clarridge, PhD; Leslie Kirle, MPH; Constantine Gatsonis, PhD; Sandra Feibelmann, MPH; Nancy Ridley, MS


RÉSUMÉ

Contexte L'Institut de Médecine a recommandé d'établir des systèmes obligatoires de rapports sur les erreurs dans les hôpitaux et dans d'autres cadres de santé.

Objectif Examiner les avis et les expériences des dirigeants hospitaliers sur les systèmes de rapport des états.

Schéma et environnement Enquête du directeur général des services (CEO) et des chefs de services (COO) dans des hôpitaux sélectionnés de façon aléatoire dans deux états ayant un système et une information du public obligatoires, deux états ayant des systèmes de rapport obligatoires sans information du public et deux états sans système de rapport obligatoire en 2002-2003.

Principaux critères de jugement Perceptions des effets des systèmes obligatoires sur le rapport des erreurs, la probabilité de poursuites et la tolérance globale du patient; attitudes concernant la communication sur les rapports d'incidents au public et probabilité de rapporter les incidents à l'état ou au patient impliqué sur la base de vignettes cliniques hypothétiques qui faisaient varier le type et la sévérité de l'atteinte du patient.

Résultats Des réponses ont été reçues de 203 hôpitaux sur 320 (taux de réponse = 63 %). La plupart des CEO/COO pensaient qu'un système obligatoire et non confidentiel découragerait de faire un rapportsur les incidents concernant la sécurité du patient à leur propre système de rapport hospitalier (69 %) et encouragerait les poursuites légales (79 %) sans avoir d'effet ou en ayant un effet négatif sur la sécurité du patient (73 %). Plus de 80 % pensaient que les noms à la fois de l'hôpital et des professionnels impliqués devraient rester anonymes, bien que les répondeurs des états ayant des systèmes obligatoires d'information du public étaient plus enclins que les répondeurs des autres états à communiquer le nom de l'hôpital (22 % vs 4 % - 6 %, p = 0,005). En se basant sur les vignettes, plus de 90 % des dirigeants hospitaliers auraient rapporté les atteintes sévères à l'état, mais nettement moins les atteintes modérées à mineures, même lorsque l'incident avait une portée suffisante pour informer le patient impliqué ou sa famille.

Conclusions La plupart des dirigeants hospitaliers expriment des inquiétudes substantielles sur l'impact des systèmes obligatoires et non confidentiels de rapports sur la réalisation de rapports internes, les poursuites légales et la sécurité globale du patient. Les dirigeants hospitaliers sont généralement en faveur de la communication des incidents concernant la sécurité du patient à ceux qui sont impliqués, mais un nombre moins important d'entre eux révélerait ces incidents s'ils concernaient des atteintes modérées à mineures aux systèmes de rapports de l'état.

JAMA. 2005;293:1359-1366.








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